Le scandale immobilier allégué,
évoqué par Paul Bérenger, lors de sa conférence de presse du week-end dernier,
fait grand bruit.
Et il se pourrait même que ce sujet soit une des
options de la première Private Notice Question du leader de l’Opposition à la
rentrée parlementaire. Toutefois, le gouvernement ne reste pas les bras
croisés. De sources fiables, nous apprenons que le Bureau du Premier ministre
accorde une attention particulière aux allégations faites, et que toutes les
enquêtes nécessaires seront initiées « en vue de faire la lumière et rétablir
les faits ».
Dans ce scandale allégué, les victimes mauriciennes et étrangères, qui affirment avoir perdu des dizaines de millions de roupies en termes d’investissements et de propriétés, ciblent principalement quatre frères, aidés d’un « syndicat de notaires, d’hommes de loi, d’institutions bancaires, d’agents et de politiciens ».
Dans ce scandale allégué, les victimes mauriciennes et étrangères, qui affirment avoir perdu des dizaines de millions de roupies en termes d’investissements et de propriétés, ciblent principalement quatre frères, aidés d’un « syndicat de notaires, d’hommes de loi, d’institutions bancaires, d’agents et de politiciens ».
Ces éléments figurent d’ailleurs sur le web. Les
auteurs de cette page soulignent que les informations ont été recueillies auprès de plusieurs personnes
qui auraient été « arnaquées » et sont destinées à ceux qui sont concernés par
le combat contre le « crime organisé de même qu’à mettre en garde les
investisseurs. »
Le mécanisme de l’arnaque alléguée est aussi décrit en détail. Notamment la vente de propriétés en état futur d’achèvement.
Le mécanisme de l’arnaque alléguée est aussi décrit en détail. Notamment la vente de propriétés en état futur d’achèvement.
Un autre aspect qui ne passe
pas inaperçu, c’est que : « They engineered people out of their interests prior
to delivery so they could resell at higher prices, perpetuating the scam ».
Et le comble c’est que l’arnaque se ferait en toute impunité et sans aucune crainte des autorités.
Et le comble c’est que l’arnaque se ferait en toute impunité et sans aucune crainte des autorités.
De plus, les
dénonciateurs ne lésinent pas sur les qualificatifs et parlent de « ventes
frauduleuses de villas, de vols de parts, de propriété et d’argent,
d’extorsion, de fausses factures, de réclamations fictives, de corruption,
d’évasion fiscale » ou encore de « faux documents et certificats ».
